Bravo à Pierre, Julien et Sébastien pour leur article sur les dérégulations épigénétiques dans le syndrome de Richter ! Leur travail a été récemment sélectionné par le comité éditorial de Nature Communications pour les highlights de la section cancer.
Le syndrome de Richter constitue l’une des formes les plus graves de lymphome, et représente la transformation d’une leucémie lymphoïde chronique en un lymphome B‐diffus à grandes cellules. La survie médiane des patients est inférieure à 12 mois, en raison de sa forte agressivité et d’un profil étendu de chimiorésistance. Les premiers résultats de travaux des chercheurs issus du CHRU de Nancy, ainsi que de l’unité de recherche NGERE, caractérisent de manière la plus précise possible les mécanismes de la maladie, en l’abordant sous plusieurs aspects : mutations de l’ADN, méthylation de l’ADN et profils d’expression des gènes.
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